Le point de départ…

Aujourd’hui faute de machines adaptées, plus qu’une petite partie de la laine locale est valorisée. Pourtant la vallée de la Roya abrite une longue tradition pastorale.
L’environnement montagnard est propice à l’élevage de troupeaux en plein air et transhumants.
La laine du mouton pousse toute l’année et pour son confort et sa santé il a besoin d’être tondu une fois par an. Cela représente selon la race 1 à 5 kg de laine brute par mouton.

Cette matière est en grande partie jetée, considérée comme déchet par les éleveurs qui ne savent plus quoi en faire, car de si grosses quantités ne peuvent être jeter n’importe où.

La mise en place de cette filière nécessite un travail d’étude approfondie, car en l’état actuel des choses, nous avons peu d’exemple d’atelier de valorisation de la laine.

Le parc machines du secteur textile français a été démantelé avec la délocalisation de l’industrie dans des pays ou la main d’œuvre est moins chère. Mais les passionnés de laine se regroupent de plus en plus. Le réseau est actif et de bon conseil. Avec la construction du nouveau bâtiment nous allons pouvoir laver et carder la laine qui ensuite peut devenir. dependant sa qualité, tapis, matelas, isolant ou chapeau!