Les sociologues ont commencé dans les années 80 à interroger le rôle des objets dans les vies des humains. Ils considérait que la personne qui transforme la matière prémière, transmet son savoir faire, sa culture et sa façon de travailler dans l’œuvre qu’elle fabrique.

Dans differentes cultures nous retrouvons des masques ceremoniales, qui apart leur utilité de se deguiser répresentent avant tout la croyance d’une culture, l’art de travailler la matière et la transmission des tradition. Mais nous sommes pas obligés de donner une valeur spirituelle aux objets, pour qu’ils portent une valeur autre que leur practicabilité.

Un exemple: Le Louvre à Paris a dans son inventaire une chaisse. Elle est en bon état, correspond à la taille et forme connue de n’importe quelle chaisse, mais nous pouvons pas s’assoir sur elle. Elle est là uniquement pour être regardé, temoin du Nouvel Empire. Fait en bois et metal. Ses pied sont des pattes de lion bleus. Elle parle de la patience de l’artisan, qui lui a fait tout ces détails qui n’étaient pas necessaire pour son utilisation prioritaire. Son bois raconte l’histoire d’un arbre, qui aura sémé longtemps avant sa transformation en chaisse. Elle aura defié des guerres, des feus, des ignorants.

 

La culture est porté par les matières naturelles qui un jour ont été transformés en bijou, ceramique, église ou tapis. La liste est interminable. Puis un objet peut être un trésor de souvenir. L’instrument, que notre grand-père jouait avant de le nous transmettre, la maison où nous avons grandi, la texture d’un pull que notre mère nous faisait porter alors qu’il grattait. A travers nos sens, nous ne voyons jamais le même objet, car nous les chargeons plus au moins consciemment avec nos experiences.

Dans le monde actuel, nous avons des nouvelles habitudes. Parce que le marché à besoin que nous consommons, il a aussi besoin que nous jetons. Les objets autour de nous ne nous permettons plus de s’y attacher, car ils ont un point de rupture prévu.

Pourquoi le robot de cuisine de la grandmère marche-t-il depuis quarante ans, alors que celui que j’ai acheté il y a trois ans se met a fumer au milieu de la préparation d’UN gâteau?

La matière a perdu sa culture. Le capitalisme pousse à la consommation rapide donc la production rapide. Pour que nous achetons plus, il n’est pas malin de produire de la bonne qualité. Nous nous avons habitués à ce que la voiture dois être changé tout les quelques années, que la mode de l’année derniere n’est plus actuelle, qu’un smarthphone se remplace regulièrement. Si nous étions aussi attachés aux objets qu’avant l’industrialisation, nous vivrons des moment de deuil pour nos biens sans cesse. La pluspart des objets autour de nous sont éphemères. Ils réprésentent une fonction, un lifestyle, non pas un savoir faire et surement pas une matière.

Quand la tempête Alex a devasté notre vallée et a detruit des habitats, nous avons vu les matières synthétiques flotter dans la rivière jusq’à la mer. Nous vivons dans du plastique en plein changement climatique. Il faut ésperer que nous n’avons pas besoin de plus de catastrophes naturelles pour réagir.

Il est temps de se rappeler de la matière. Des mains qui la transforment. De la nature qui nous l’a preté. De se rappeler que nous sommes pas exclu d’elle mais que notre monde exsiste grâce à elle. Et que notre avenir dépend de notre capacité de changer notre relation à la matière.

Rappelons nous de la chaisse au musée. Regardons maintenant une chaisse d’une marque suedoise bien connue, qui elle aussi porte des informations. Si on regarde de proche, nous regardions les forêts exploitées brutalements, nous verrons des travailleurs d’usine mal payés, la chimique qui polluera nos oceans une fois que la chaisse aura cassée. Et elle va casser. Elle finira pas dans le Louvre, ni elle sera decomposé par les insects.

„Mais l’artisanat, c’est cher!“

J’éspère qu’un jour le calcul des prix incluera aussi les coût que nous imposants à la nature. Nous allons payer de toute manière. Le jour où nous prennons en compte l’empreinte carbone dans les calculs des prix sur le marché entier, la perception de valeur aura changé. Entre-temps, c’est à chaqu’un de nous de soutenir et défendre le circuit court.